Dix jours sans nouvelles… Pourquoi, comment se fait-ce? Et bien c’est le temps qu’il fallait pour s’acclimater à la fin d’été-giboulée du Canada (et trouver un chapeau de cow-girl pour elle, une sangle panthère pour bibi, adaptation oblige). L’année dernière, Marine y était partie trois mois sans moi, et c’est là qu’elle s’était dit qu’il était plus que temps de remédier à mon absence.
Retour ici donc pour montrer ses (nos) progrès aux écureuils, public aussi fuyant qu’exigeant. Avant de «performer» devant les québécois, ils sont une sorte de passage obligé. Tradition méconnue, puisque les caribous et castors ne cessent de leur voler la vedette en tant que critiques des grandes étendues. Verdict pour le moins encourageant : ils restent et dressent même leur jolie queue en signe d'approbation. Allez, demain, on teste les pigeons...
A croire que le succès nous submerge puisqu'alors que l'on posait l'air de rien (en mode soooo melancolique) une sorte de Lassie des rues est venue troubler notre attitude détachée. L'homme est un animal comme les autres à ce qu'il paraît, espérons que nous saurons aussi bien l'apprivoiser sur la scène locale...
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